iAgro permet, grâce à un scan photographique 3D avec votre smartphone, de caractériser la géométrie des couronnes des cultures arboricoles (vignes, oliviers, arbres fruitiers, amandiers, agrumes) et d’évaluer les paramètres de vigueur tels que LAI (Leaf Area Index), LWA (Leaf Wall Area) et TRV (Tree Row Volume). Enfin, l’application détermine la dose optimale d’eau et de pesticide à distribuer dans le champ, en fonction du type de pulvérisateur de l’exploitation et de la maladie à prévenir ou à combattre.
Toutes les informations collectées sont géoréférencées et historicisées pour créer des cartes de variabilité végétale et des cartes de prescription de traitements pesticides variables, qui peuvent être exportées directement à partir de l’application.

iAgro est votre assistant agronomique qui peut être utilisé pour :
– créer votre registre de parcelles
– organiser l’information agronomique, la partager et planifier les opérations sur le terrain selon les principes de l’agriculture de précision
– consulter les prévisions météorologiques super-locales pour votre parcelle jusqu’à 7 jours
– consultez les fenêtres de pulvérisation pour savoir quand il est préférable d’effectuer les traitements en fonction de la météo
– créer des modèles numériques virtuels (jumeaux numériques) de vos cultures arboricoles
– déterminer l’épaisseur, la hauteur et le volume de la couronne des plantes scannées
– évaluer la vigueur végétative (LAI) des plantes analysées
– l’évaluation des paramètres de terrain LWA et TRV
– évaluer la dose optimale d’eau et de pesticides
– créer des cartes de la variabilité de la végétation afin d’optimiser les opérations telles que la fertilisation et la récolte
– créer des cartes de prescription pour les traitements pesticides variables
– exporter les données collectées sous forme de tableau (.csv)
– exporter des cartes au format matriciel (.tiff) et vectoriel (.shp)

iAgro Basic s’adresse à vous qui êtes :
– Petite exploitation jusqu’à 5 hectares
– Technicien professionnel (agronome, agro-technicien) qui veut surveiller jusqu’à 5 hectares